Sépulture arménienne : Goukassov (Paul : 1910-1993), Beglarian (Parquir :1897-1990) & Zavriew (André : 1927-2009). - Le monument supporte une descente de croix : deux femmes entourent le Christ mort assis sur une pierre entre elles, de facture inconnue. Sur la stèle, sont gravés deux anges autour d’une croix de Malte, ainsi que deux symboles que nous ne connaissons pas, avec une croix de Malte, dans des anneaux, œuvre du sculpteur russe Hakop Gourdjan (1881-1948). Div 97
Kanjounzeff : vitrail - croix-scaled
Chapelle par jpy
Grégoire Kanjounzeff, diplômé de l’École libre des Sciences politiques (1898-1922) – Il décède le 10 juillet 1922, à 24 ans. - La chapelle est signée par l’architecte Léon Nafilyan. Elle est ornée d’un vitrail avec un dessin géométrique, de facture inconnue. Div 96
Giovanna Gassion, dite Edith Piaf, chanteuse populaire (1915-1963). – Comme sa biographie est importante je vous invite à consulter ce site : https://www.appl-lachaise.net/piaf-edith-giovanna-lamboukas-nee-gassion-dite-1915-1963/
Son second mari, Théophanis Lamboukas, dit Théo Sarapo (1936-1970), fait une courte carrière de chanteur avant de disparaître à son tour dans un accident de voiture. Ils reposent tous deux dans la même sépulture. Div 97
Henri Salvador : photo anonyme
Monument par jpy
Henri Gabriel Salvador, chanteur populaire (1915-2008). – Outre la grande longévité de sa carrière (des années 1930 à sa mort), Henri Salvador est un personnage marquant de la musique. Ses chansons populaires restent fredonnées par des générations de Français : « Syracuse » ; « Maladie d’amour » ; « Le Loup, la Biche et le Chevalier » (Une chanson douce) ; « Dans mon île » ; « Le Travail c’est la santé » ; « Zorro est arrivé ». Avec Sacha Distel, ce sont les deux seuls chanteurs de variété à figurer dans le Dictionnaire du Jazz. - Il repose avec sa première épouse. Div 97
Sépultures chinoises par jpy
Chapelle par jpy
vitrail de l'Assomption
Victor Lesec, (1819-1886). – Cette chapelle a été uniquement photographiée pour son patronyme, car pour Christian et moi, nous n’étions pas « sec ». - La porte comprend la lettre L en fonte. La chapelle et ornée d’un vitrail avec l’Assomption, de facture inconnue. Une statue en plâtre d’un ange en prière se trouve sur l’autel. Div 96
Détail de l'inscription
Monument par jpy
Monument aux victimes de Flossenbürg (1938-1945) - Les nazis créent le camp de concentration de Flossenbürg en 1938, près du village éponyme en Bavière. Quatre-vingt-seize mille prisonniers y transitent, dont trente mille trouvent la mort. - Le travail imposé est dans l’industrie de l’armement, en particulier de l’aéronautique avec les usines Messerschmitt, mais aussi dans les carrières de granit, le forage de tunnels et d’usines souterraines. En avril 1945, lors de marches forcées d’environ 80 km, 7 000 prisonniers périssent. Une colonne blindée de la 90e division d’infanterie de la 3e Armée américaine libère les survivants, le 23 avril 1945, sur la route. Par ailleurs, une autre colonne libère sans résistance le camp le même jour. Div 97
l'Homme de bronze
Monument par jpy
Monument par jpy
Monument aux victimes de Mauthausen (1938-1945) - Les nazis créent le camp de concentration, 22km de Linz (Autriche). Quatre-vingt-seize mille prisonniers y transitent, dont trente mille trouvent la mort. – C’est l’un des plus grands camps de travail en Europe occupée. De plus, 50 camps annexes, situés en Autriche et dans le Sud de l’Allemagne dépendent du complexe de Mauthausen-Gusen et utilisent les prisonniers comme main-d’œuvre. En janvier 1945, l’ensemble des camps dirigés depuis le bureau central de Mauthausen rassemble plus de 85 000 prisonniers. On estime le nombre total des victimes entre 120 000 à 320 000 morts pour le complexe dans son entier. - Le monument est inauguré le 4 mai 1958. C’est une évocation de la carrière du camp où sont morts tant de déportés. C’est au sculpteur Gérard Choain et au fondeur Marius Hohwiller que l’on doit l’homme de bronze. C’est la représentation d’un déporté nu et décharné, devant porter une pierre toujours trop lourde pour des corps complètement épuisés, au sommet de l’escalier taillé dans du granit extrait de la carrière du camp. L’homme, figé en bas des marches, semble ne pas pouvoir aller plus loin. Ce monument est un hommage des survivants à leurs camarades disparus. Div 97
bas relief en pierre FEDIP
Monument par jpy
Monument aux victimes espagnoles (1939-1945) De nombreux espagnols fuient la guerre civile en Espagne, surtout après la défaite des républicains. Beaucoup sont internés dans des camps, de réfugiés d’abord … puis de prisonniers politiques lors de la seconde guerre mondiale. Après la libération, de retour dans leur pays, les déportés créent des amicales pour que le monde sache ce qui c’était passé dans les camps nazis. - Après la libération, de retour dans leur pays, les déportés créent des amicales pour que le monde sache ce qui c’était passé dans les camps nazis. Le « S » dans un triangle rouge est le signe distinctif des Internés Politiques. Div 97
Monument de 3/4 (@)
Monument de face par jpy
Monument aux victimes de Neuengamme (1938-1945) Les nazis créent le camp de concentration, au Sud-Est de Hambourg. Puis il devient, en 1940, un camp de travail (213 000 m2) avec plus de 90 camps extérieurs annexes. - Les prisonniers effectuent un travail forcé dans une briqueterie, dans des conditions de vie et de travail inhumaines. Puis ils travaillent aussi dans l’industrie de l’armement ainsi que pour la construction d’installations militaires. D97 . suite ...
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Fabien & Capitaine Lebon
Monument par jpy
Lieutenant Colonel Dax
Capitaine Katz 1911-1944
Pierre Georges, dit colonel Fabien, il adhère au Parti communiste à l’âge de quatorze ans et s’engage dans les brigades internationales à dix-sept ans, en 1936. (1919-1944) - Il réalise lui-même ce qu’on considère comme le premier attentat meurtrier contre les troupes d’occupation. Il tue d’une balle dans le dos, le 21 août 1941, un officier de la Kriegsmarine, l’aspirant Moser, au métro Barbès Rochechouart. Cet attentat et ceux qui suivirent causent la mort de nombreux otages. suite ...
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Monument par jpy
Monument de 3/4 (@)
Monument aux victimes de Ravensbrück (1939-1945) Les nazis créent le camp de concentration, à 80 km au nord de Berlin. Il devint rapidement le centre de détention de femmes le plus important du pays. On y déporte au moins 132 000 femmes et enfants, dont 90 000 y meurent. - Le camp, destiné en premier lieu aux détenues politiques ; opposantes politiques, communistes, ou résistantes polonaises, allemandes, françaises, prisonnières de guerre russe, accueille également des détenues raciales ; Juives, Tziganes, Roms. Il fournit en main-d’œuvre féminine les industries d’armement et les mines de sel. - Le monument est inauguré le 23 avril 1955. Sculptés dans le granit par Émile Morlaix, deux énormes avant-bras surgissent d’un chaos rocheux devant un mur aux blocs parfaitement taillés. Cette œuvre traduit la bestialité, la brutalité et l’oppression de l’univers concentrationnaire. Div 97
Monument par jpy
affiche de recrutement
Monument aux volontaires français des Brigades Internationales (1936-1938). Sur une idée de Maurice Thorez (secrétaire du Parti Communiste Français), Willy Münzenberg (chef de la propagande du Komintern pour l’Europe occidentale) propose à Staline, le 18 septembre 1936, de « procéder au recrutement parmi les ouvriers de tous les pays des volontaires ayant une expérience militaire en vue de leur envoi en Espagne ». L’idée est d’aider la République espagnole. Il faut recruter le plus largement possible, des communistes, mais également des anarchistes, des socialistes ou de simples volontaires. Un décret du gouvernement espagnol, du 22 octobre 1936 crée officiellement les Brigades internationales. Elles se composent de volontaires antifascistes venus de 53 pays différents. Selon des estimations, durant la totalité de la guerre, entre 32 000 et 35 000 volontaires servent dans ces brigades. Environ 15 000 meurent au combat. Div 97
Plaque : "Georges Marchais" par jpy
sur le monument du comité du PCF (@)
Comité national du Parti Communiste Français : Juliette Dubois-Plissonnier (1911-1990). Robert Chambeiron, Secrétaire Général Adjoint, du Conseil National de la Résistance (1915-2014). Docteur Samir Amin (1931-2018). Gaston Plissonnier (1913-1995). Claude Cabannes, rédacteur en chef de l’Humanité de 1981 à 2000 (1936-2015). Roland Leroy, directeur de l’Humanité, Député (1926-2019). Isabelle Amin, née Eynard (1927-2023). – Une plaque est posée sur cette sépulture : Georges Marchais, il répose au cimetière de Champigny s/Marne (1920-1997). Div 97
Monument par jpy - Duclos : pendant la campagne référendaire 1969
Jacques Duclos (1896-1975) il adhère au Parti communiste en 1920, éminent dirigeant, du parti Communiste Français. Div 97
Monument par jpy
Photo anonyme
Maurice Thorez (1900-1964), il adhère au Parti communiste en 1920, secrétaire général, du Parti Communiste Français. Div 97
Monument par jpy
portrait par Salvador Dali 1929
Eugène Émile Paul Grindel, dit Paul Eluard, poète : « Liberté, j’écris ton nom » (1865-1952). Il adhère au Parti communiste en 1926. Il est exclu, en 1933, en 1943, il se rallie au PCF clandestin, malgré tout. Div 97
Détail : Châteaubriant
Monument par jpy
Caen, Nantes, Mont-Valérien
Semard : photo anonyme
Monument par jpy
Pierre Semard, Secrétaire général du PCF et de la CGT (1887-1942). Il joue un rôle de tout premier plan dans la création de la CGTU, il intervient dans les colonnes de la Vie Ouvrière pour affirmer ses convictions profondes de syndicalisme révolutionnaire antibureaucratiques. En novembre 1922, il rencontre Lénine à Moscou. A son retour en France, Pierre Semard justifie alors l’adhésion de la CGTU à l’ISR. Il s’engage alors aux côtés du Parti Communiste Français (PCF) dans l’action commune contre l’occupation de la Ruhr. Arrêté en 1941 il est conduit à la Santé par le juge d’instruction militaire sous l’inculpation de détournement de fonds et d’infraction au décret concernant la dissolution du PCF. Il est condamné à trois années d’emprisonnement. Le 20 mai, il est transféré à Bourges. Le 6 mars 1942, il est transféré à la prison d’Évreux (Eure) et le lendemain, on le fusille, à la demande des allemands, à titre d’otage. Div 97
Photo anonyme de 1921
Monument par jpy
Paul Vaillant-Couturier, journaliste, député (1892-1937). C’est à lui que l’on doit la retransmission et la publication de la fameuse « chanson de Craonne ». Cette chanson est l’hymne des « mutins » de 1917 et le haut commandement l’interdit. Il adhère à la SFIO dès 1916. Avec Henri Barbusse, il crée en 1917, « l’Association Républicaine des Anciens Combattants ». Il entre à la rédaction du « Canard enchaîné » en janvier 1917. Il est élu député de Paris en 1919. Div 97
Photo anonyme
Monument par jpy
Henri Barbusse, écrivain (1873-1935). « Le Feu » récit sur la Première Guerre mondiale, qui obtient le prix Goncourt (pas très mérité) peinture très réaliste ! (Je n’en suis pas certain et c’est très ordurier des avis de jpy et de Jean Norton Cru) de la vie des Poilus, soulève des foules de protestations du public de l’arrière peu au fait des conditions réelles d’existence des combattants. Henri Barbusse est un admirateur sans borne de la Révolution russe de 1917, il en tire un ouvrage, « Le Couteau entre les dents » en 1921. En 1923, il adhère au tout nouveau Parti Communiste Français. Il est l’animateur du mouvement et de la revue « Clarté ». Il cherche à donner et à définir une « Littérature prolétarienne ». Henri Barbusse séjourne en URSS où il écrit une biographie de Staline. Il faut bien reconnaître qu’à part « Le Feu », le reste de son œuvre est quelque peu oubliée de nos jours. Il décède à Moscou (Russie) le 30 août 1935. Div 97
Détail du monument (@)
Monument par jpy
Monument aux victimes de Buchenwald-Dora (1937-1945) Est un camp de concentration nazi créé en juillet 1937 sur la colline d’Ettersberg près de Weimar (Allemagne). Destiné initialement à enfermer des opposants au Troisième Reich, pour la plupart communistes ou sociaux-démocrates, il reçoit par la suite quelque 10 000 juifs arrêtés lors de la nuit de Cristal en 1938, ainsi que des tsiganes, des homosexuels, des témoins de Jéhovah, des opposants politiques et d’autres prisonniers de droit commun. suite ...
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Photo aérienne du camp prise par la RAF en 1943
Monument par (@) la mienne était inexpoltable
Monument aux victimes d’Oranienburg-Sachsenhausen (1936-1945). Les nazis créent le camp de concentration en 1936, à Oranienburg, à 30 km au nord de Berlin (Allemagne). Il a plusieurs objectifs : être un camp modèle, dont même l’architecture doit montrer la suprématie de l’idéologie nazie ; former les futurs chefs de camp (Rudolf Höss y fait ses classes avant de prendre la tête du complexe d’Auschwitz) ; accueillir le siège de l’Inspection des camps de concentration (IKL). En août 1941, un massacre de masse a lieu avec l’exécution de plus de 13 000 soldats soviétiques, prisonniers de guerre. Globalement, on estime que 200 000 personnes y ont été internées de 1936 à 1945. On évalue les morts à 84 000 personnes. - Le monument est inauguré le 2 mai 1970. Œuvre de Jean-Baptiste Leducq, la sculpture en cuivre martelé frappe les visiteurs par son ampleur et sa force. Div 97
Monument par jpy - Détail de la plaque mémorielle (@)
Monument aux victimes de Buna Monowitz Auschwitz III (1941-1945). Ouvert fin octobre 1941, à proximité des usines de Buna, fabricant du caoutchouc synthétique pour l’entreprise IG-Farben, le camp de Monowitz est rattaché à celui d’Auschwitz (au sud de la Pologne). En novembre 1943, il devient un camp autonome sous le nom d’Auschwitz III. Les détenus sont des juifs, pour la plupart. suite ...
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Monument et détail proviennent de @. Ma photo était inexploitable
Monument aux victimes de Nacht und Nebel (Nuit et Brouillard) (1941-1944). En septembre 1940, les nazis découvrent à proximité du village de Natzwiller, germanisé en Natzweiler, un filon de granit rose. En mars 1941, Heinrich Himmler, Reichsführer-SS, ordonne d’implanter sur le site un camp de concentration pour exploiter la roche au profit des grands travaux du Reich. Le camp de concentration de Natzweiler-Struthof s’ouvre alors sur le territoire de l’Alsace annexée par l’Allemagne nazie. Entre 1941 et 1944, environ 52 000 prisonniers sont enregistrés au camp principal et/ou dans son réseau de camps annexes. On y recense plus de 30 nationalités. L’origine des déportés est très diverse. Pour le camp principal, les détenus sont majoritairement des opposants politiques ou des résistants. suite ...
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Détail de la plaque et du monument proviennent de @
Monument aux victimes de la catastrophe du DC10 du Niger. Le 19 septembre 1989, un DC-10 de la compagnie UTA qui effectue le vol reliant Brazzaville à Paris explose au-dessus du désert du Ténéré (Niger). 170 personnes, de 27 nationalités différentes, décèdent dans cet attentat. L’enquête démontrera l’implication des services secrets libyens. Div 77
Une partie du train d'atterrissage
Monument (@)
Monument aux victimes de la catastrophe de Charm el-Cheikh. L’avion immatriculé SU-ZCF appartenant à la compagnie aérienne Flash Airlines effectue le vol Flash Airlines 604. Cet appareil s’écrase en mer, le 3 janvier 2004, au large de la station balnéaire de Charm el-Cheikh (Égypte). L’enquête conclut à une erreur de pilotage (désorientation spatiale). Le bilan s’établit à 148 morts, dont 135 passagers et 13 membres d’équipage. Ce sont 134 français/es et une marocaine ayant effectué un séjour touristique à Charm el-Cheikh. suite ...
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Photo prise par CC
les cendres sont déversées en cordon !
Jardin du Souvenir. En 1985, la ville de Paris inaugure le jardin du souvenir pour répandre les cendres de ceux qui ne souhaitent pas avoir de sépulture. C’est le premier du genre, en France. Div 77
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