Simone Kaminker, dite Signoret né à Wiesbaden (Allemagne) actrice de cinéma (1921-1985) - Div 44

Ivo Livi, dit Yves Montand né dans le village de Monsummano (Italie) coiffeur, chauffeur de salle, chanteur, acteur, homme public et politique (1921-1991) - Div 44

Michel Legrand musicien, jazzman, auteur compositeur interprète, pianiste (1932-2019) - La dalle est surmontée d’une croix orthodoxe en marbre noir, enroulée de rubans figurant la musique, œuvre signée par Benoit Lemercier et datée de 2021. Div 44

Macha Meril (1940- ) Div 44

Crématorium - Div 87

36 - Élise Pape (1857-1924) – « Il n’y a point de ténèbres – Les morts ne sont pas moins réels que les vivants EP » 

case n°5564

36 - Jean Grandy (1909-1934) – franc maçon.

case n°5587

36 - P. Alessio Salvini (1848-1924) – « La souffrance ici-bas a été mon partage. Dans mon cœur plein d’amour j’ai laissé l’image. » 

case n°5765

36 - Georges Urbain chimiste, peintre, sculpteur, musicien et compositeur français, académicien des sciences, découvreur du Lutécium (Le lutécium est un métal gris argenté, mou et ductile) (1872-1938) 

case n°5791

36 - Doria Angela Duncan dite Isadora danseuse née à San-Francisco (1878-1927) - Le 14 septembre 1927, sur la promenade des Anglais à Nice, son écharpe, flottant au vent, vient s’enrouler autour du moyeu de la roue de sa voiture qu’elle conduit et l’étrangle.

case n°6796

Louis Trouillon dit Lacombe pianiste, compositeur (1818-1884) - La sépulture est ornée d’un médaillon en bronze d’Andrea Favel, dite Andrée Lacombe, non signé, d’un buste en bronze de Louis Lacombe, signé par le sculpteur allemand Karl Menser, Bonn 1909, d’un bas-relief en pierre représentant un génie masculin avec une couronne s’appuyant une stèle, et, enfin, d’un autre bas-relief en pierre figurant une lyre. Le monument est signé par Karl Menser, Bonn, 1909. (Sur le bas-relief du génie, la liste de ses œuvres) : « Arma, Manfred, Sapho, Le tonnelier de Nuremberg,

Le festin de fer, Winkelried ».

Eugénie Claudine Duclairfait, dite Andrea Favel (épouse Lacombe) soprano (1831-1902) Div 85

Valentin Louis Georges Eugène Marcel Proust journaliste chroniqueur, dilettante mondain, auteur de romans (1871-1922) - Issu d’un milieu bourgeois, cultivé et marqué par un entourage féminin, le jeune Marcel est de santé fragile ; il aura toute sa vie de graves difficultés respiratoires causées par l'asthme. Div 85

Patrice Laffont animateur (1939-2024) - C’est l’ami de Michel Fugain et de Michel Sardou, avec lesquels il collabore à l’écriture de chansons. Journaliste sur Europe 1, le producteur Armand Jammot le repère. Il lui fait faire ses débuts à la télévision, en mai 1970, avec Aujourd’hui Madame. Puis il devient célèbre en présentant Des chiffres et des lettres pendant 17 ans, du 4 janvier 1972 au 9 janvier 1989.  Div 80

Louis Auguste Feris, baron, dit Félix de Beaujour homme de lettres, diplomate, député (1765-1836) - En 1818, il choisit le nom de Beaujour et il transforme son nom en prénom Félix. Il occupe le poste de consul général de Grèce, puis consul Impérial à Constantinople. Il se fait élire député de Marseille en 1831. Félix de Beaujour traverse toute cette époque troublée avec plus ou moins de bonheur. Félix de Beaujour repose sous un monument imposant évoquant un phare, visible de tous les points de la capitale, et qui a été nettoyé en partie. L’architecte de ce monument, le plus haut du cimetière, est François Alexis Cendrier, surtout connu pour les gares qu’il a construites. Div 48

Charlotte Émilie Dias-Santos (1811-1827) - En 1827, la duchesse de Duras, Marie Émilie Knusli, veuve Dias-Santos, a la douleur de perdre sa fille, Charlotte Émilie. Élevé en 1832, l’obélisque en pierre de quatre mètres de hauteur est orné d’un haut-relief en marbre, signé par Pierre Alphonse Fessard et daté de 1839. Ce haut-relief représente un ange emportant la défunte. Il est sous un bas-relief, figurant un ouroboros (un serpent qui se mord la queue) entourant un triangle et entouré de rayons, symbole du Saint-Esprit. Le soubassement du monument comporte une ouverture fermée par une porte en bronze orné. Div 48

Zénaïde vicomtesse de Chatiloff, princesse Dolgorouky (1817-1883) - Sa la beauté la fait surnommée « la violette de St Pétersbourg ». La princesse se marie à l’âge de 16 ans au prince Jacques Lobanoff Rostow, frère cadet du prince Alexis Lobanoff Borisovitch Rostow, ambassadeur de Russie à Vienne et à Londres. Elle devient princesse Dolgorouky de la dynastie de Rurik. - Le tombeau est l’un des plus beaux du cimetière. Le groupe en marbre, maintenant protégé par des vitres très épaisses, a fait l’objet d’une restauration. C’est une œuvre de Daniel Campagne qui n’est ni signée ni datée. Il représente une mère assise et voilée, avec sa fille agenouillée à ses pieds, grandeur nature. Celles-ci sont sous un dais supporté par des colonnes coiffé d’une coupole qui rappelle les églises russes. Div 48

Honoré Balzac, dit De Balzac écrivain (1799-1850) - C’est en 1841, qu’Honoré de Balzac donne le jour à son œuvre majeure : « La Comédie Humaine ». Il a l’ambition de transcrire et de tracer le portrait de la réalité sociale et historique de son époque en décrivant à travers ses romans mœurs et caractères de ses contemporains. Il crée là une œuvre unique et colossale. Div 48

Anne Antoinette Benoite Dumorey, baronne Salvages de Faverolles écrivain (1799-1850) - Madame de Récamier la présente à la reine Hortense, fille de Joséphine de Beauharnais, femme de Louis Bonaparte, roi de Hollande, et mère du futur Napoléon III. Elle devient une grande amie de la reine et sa dame de compagnie. Elle contribue à l’éducation première du futur Napoléon III. Lorsqu’elle meurt le 1er mars 1854, après avoir légué une grande partie de ses biens à l’empereur. - Chapelle monumentale datée de 1854, œuvre de Gabriel Vital Dubray, non signée. Ce dernier réalise aussi les statues et bas-reliefs. La porte de la chapelle est entourée de deux pleureuses en marbre. La chapelle est ornée de deux bas-reliefs en marbre, représentant l’un des anges enlevant la défunte, l’autre, une femme entourée des siens, et d’un autre bas-relief, en pierre, représentant les armoiries de la famille. Div 48

Monument aux travailleurs municipaux (1799-1850) - En 1892, le Conseil municipal adopte la construction d’un monument destiné aux ouvriers municipaux décédés dans leur service. Cela fait suite à la pétition de Louis-Auguste Vorbe, de la Chambre syndicale des égoutiers de la Ville. L’obélisque comporte 78 noms. Ce sont exclusivement des hommes, décédés entre 1891 à 1985. Ces agents représentent les métiers de la Ville de Paris à la fin du 19e et au 20e siècle : ajusteurs, bûcherons élagueurs, cantonniers, charretiers, cochers, conducteurs d’automobile, égoutiers, fontainiers, jardiniers, instituteurs, machinistes, manœuvres à l’usine des eaux, paveurs, porteurs des pompes funèbres, sauveteurs, surveillants d’entrepôts et de chantiers du métro … et même garde dans le cimetière ! Div 54

Charles Auguste Louis Joseph, duc de Morny ministre (1811-1865) - C’est le fils naturel de la reine de Hollande, Hortense de Beauharnais, et du comte de Flahaut, et le petit-fils naturel de Talleyrand et le demi-frère de Napoléon III. Il évoque son ascendance avec humour en ces termes : « Dans ma lignée, nous sommes bâtards de mère en fils depuis trois générations. Je suis arrière-petit-fils de roi, petit-fils d’évêque, fils de reine et frère d’empereur ». - La chapelle, de 1866, signée de l’architecte Eugène Viollet Leduc, d’un goût particulier, servit de réserve de poudre et de munitions aux Communards en 1871. Div 54

Jules Michelet historien (1798-1874) - Il devient chargé de cours d’histoire ancienne à l’École Normale Supérieure, en 1827. Catholique et royaliste, Charles X le charge de l’éducation de la fille de la duchesse de Berry. Pourtant, les idées libérales de la révolution de 1830 le gagnent. Ayant refusé de prêter serment à Napoléon III, il est déchargé de son poste aux Archives Nationales. Dans sa retraite, Michelet se considère désormais comme un éducateur social chargé d’élever spirituellement le peuple. C’est dans cet esprit qu’il rédige, de 1847 à 1853, son œuvre la plus connue, « l’Histoire de la Révolution française ». Div 52

Jean-Baptiste Delpech ingénieur (1815-1863) - Il devient ingénieur des ateliers du chemin de fer de Paris à Lyon (PLM). - L’architecte Henri Gabriel Fèvre dessine les plans du monument qui est orné d’un buste en bronze signé Hippolyte Etienne Maindron, fondu et signé par Broquin et Lainé. Il contient aussi deux hauts reliefs en bronze, l’un d’une tête d’ange et l’autre d’une couronne de fleurs avec un sablier ailé. Ce monument est élevé avec la participation de 8 888 souscripteurs. Div 52

Ferdinand Eugène Victor Delacroix peintre (1798-1863) - Il aborde les thèmes historiques entre 1827 et 1832. Il peint la « Bataille de Nancy » et la « bataille de Poitiers ». Les Trois Glorieuses (révolution de 1830) lui inspirent son tableau le plus célèbre, « la Liberté guidant le Peuple ». Le tombeau, à l’antique, d’après le tombeau de Scipion (Via Appia puis Musée du Vatican), en pierre de lave de Volvic, est l’œuvre de l’architecte Denis Darcy. Div 49

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